La liberté d’expression poussée au maximum

22 avril 2010

 

Pour continuer, dans notre sujet qu’est la liberté d’expression, je voudrais parler du paysage musical québécois. Notre province renferme plusieurs artistes controversés qui seraient pertinents d’analyser pour ces billets collectifs. La question que je me suis posée c’est si on pouvait se permettre de dire n’importe quoi sous prétexte de la liberté d’expression? Peut-on exprimer des pensées blessantes et choquantes seulement pour attirer l’attention?

Les artistes ou le groupe que je prendrais pour exemple c’est Black Taboo. Bien sûr, il y a plusieurs groupes de la sorte et pas juste au Québec. Le sous-genre de cette musique serait le gangster rap comme j’ai pu lire sur quelques sites. Il se caractérise par des sujets comme les gans, la violence, la drogue, etc. Le but de Black Taboo est de choquer et de faire parler d’eux au maximum. Le groupe atteint les limites de ce qu’on peut dire et ils s’en sont conscients. Il ne souhaite pas non plus que ces propos soient diffusés à un grand public comme j’ai pu lire sur ce site; <<C’est drôle pareil. Ils nous dénonçaient, mais ils faisaient jouer des extraits de la chanson à des heures de grande écoute le midi. Nous on ne veut pas ça. C’est écrit sur l’album : Langage ordurier pour public averti. Nous on sait ce qu’on fait. C’est eux les bouffons qui ne savent pas ce qu’ils font >>. Il s’agit d’un propos d’un des membres du groupe à l’émission de Pierre Maisonneuve à Radio Canada le midi. Comme je l’ai dit, les membres du groupe sont conscients des propos misogynes qu’ils portent. N’est-il pas facile de dire tout ce qu’on veut sous prétexte de vouloir choqué ? Même si les membres du groupe ne supportent pas les propos qu’ils disent, ils ne peuvent pas se déresponsabiliser de la sorte, c’est beaucoup trop facile. Il utilise la liberté d’expression pour véhiculer des idées malsaines et blessantes.

Peut-être les membres du groupe ont un autre but en agissant de la sorte. En écoutant ces paroles, on ne reste pas indifférent. Je voudrais ici proposer une réflexion par rapport à la censure. La responsabilité revient non pas au groupe, mais bien à la population. C’est au spectateur de décoder les messages qu’on lui envoie, peu importe leur nature. En abordant des thèmes comme la misogynie, on cherche peut-être à nous faire comprendre qu’il ne faut pas penser de la sorte et que la femme doit être traitée avec respect. De plus, il s’agit du moment pour le spectateur de poser des réflexions sur soie pour voir s’il supporte ou non ces idées. Bref, le but de se groupe est de faire parler d’eux et je crois qu’on ne devrait pas les censurés pour la raison que peut importe les informations qu’on reçoit, il faut se faire notre propre idée et en discuté avec notre entourage. Ça ne sert à rien de les censurer, même s’il s’agit de sujets choquants. Il faut s’ouvrir à tous les informations qu’on reçoit pour ensuite poser des réflexions. Je ne crois pas que ces paroles ont leurs places à la radio et dans les médias et il faut aussi faire attention aux enfants qui écoutent cette musique. Les parents devraient être à l’aise d’en parler avec leurs jeunes et ainsi expliquer les réflexions que l’on peut tirer de cette musique. Pour conclure, on peut être indigné et on doit l’être. On cherche par tous les moments à se faire voir et connaître et souvent on dépasse des limites sur le plan moral. N’est –il pas représentatif de notre société où on doit être de plus en plus<<heavy>> pour aller chercher des réactions.

Entrevue à Radio Canada   http://www.33mag.com/fr/magazine/alexis-brault/black-taboo

Pour pousuivre notre billet collectif, je vous invite à lire le blogue cyber blog media qui continue dans le même veine avec le très controversé Gille Proulx qui repousse la limite de la liberté d’expression. Voici le lien http://cyberblogmedia.wordpress.com/2010/04/22/fuck-you-toogilles-proulx/

Bon été !!!


Entrée no.10 – Rétrospective

15 avril 2010

Bienvenue encore une fois sur mon blogue. Cette semaine je ferais une rétroaction sur mes entrées effectuées pendant la session. Pour commencer, nous avons eu à effectuer un travail différent de la session dernière au niveau du contenu. Les entrées se divisaient en trois grands thèmes. D’abord, nous avions à commenter des documents où il y avait des problèmes au niveau des sources ou de la rhétorique comme l’entrée 1 et 6. Ensuite, nous devions informer les étudiants de notre projet, montrer nos sources et comment notre projet avance. Pour finir, nous avons eu à donner nos commentaires sur les projets de nos camarades de classe. Dans les trois cas, on met en application des compétences qui se rapportent à la méthodologie.

Le blogue a été bénéfique au niveau de notre projet. Le fait qu’on reçoive la critique des autres élèves apporte une autre dimension, de nouvelles idées. On présente d’autres façons d’aborder notre sujet qui sont très favorables au développement de notre projet. L’entrée no.9 de Gille-Luce par exemple, m’a aidé à bien cerner mon sujet et mes idées et aussi à voir comment les autres perçoivent ma recherche. De ce fait, je peux ajuster  mon approche pour offrir un travail plus précis et plus complet. Merci monsieur Macamaux.

Je trouve cependant dommage que le blogue ne se prêtait pas plus au débat et aux réflexions philosophiques. J’aurais aimé avoir plus de billets qui permettent de discourir avec les autres étudiants. La défense d’opinion aurait pu être utile, car nous avons besoin de source pour appuyer nos propos. De plus, j’ai trouvé intéressant le débat sur Wikipédia. Je crois qu’il serait bénéfique pour le cours qu’il y ait un débat en classe où nous devons nous préparer pour défendre une position. Ce débat pourrait être noté et filmé ce qui forcerait les étudiants à être bien préparé et à offrir un discours appuyé par une recherche. Voilà pour mes commentaires sur le blogue.

Bon été à tous !!! Profitez des vacances pour faire le plein d’énergie et d’alcool.


Entrée no.9 Les sources de mon projet

9 avril 2010

Mon projet de recherche avance et cette semaine je vais exposer des sources qui me seront utiles. D’abord, je vais prendre de l’information sur plusieurs types de support comme des films, des articles de revues et des livres. Jusqu’à présent, je ne suis pas trouvé de livres qui sont vraiment pertinents en ce qui concerne le Métal. J’attends encore un ouvrage à la bibliothèque en espérant que celui-ci puisse me donne d’autres informations sur mon sujet. Je vais cependant parler du réel lacanien alors j’aurais besoin de sources efficaces pour développer mes propos comme des dictionnaires de la psychanalyse. Le réel se retrouve dans cette musique avec la recherche de comportements qui ne sont pas explicables dans le symbolique comme les chants gutturaux, les trashs, etc. En société on ne peut avoir ce type de comportements alors que les spectacles métals nous le permettent. Pour avoir d’autres informations, je me suis tourné vers des articles de revues que j’ai trouvés dans les bases de données. J’ai pu dégager quelques documents intéressants pour expliquer ce que les gens recherchent dans cette musique. Cet article explique aussi les ‘’trashs’’ mais je ne suis pas tout à fait en accord avec les propos qu’il apporte. Ce document me sera sûrement très utile et je pourrais m’en servir comme point de départ pour une des parties de mon développement. Ensuite, les documentaires dont j’ai parlé pendant mon premier exposé seront les plus utiles, car ils sont récents et expliquent bien cette musique et la culture qui l’entourent avec un point de vue actuel. On parle beaucoup de ce que les gens recherchent dans cette musique et pourquoi ils assistent à des concerts. Les entrevues des francs-tireurs sont aussi particulièrement intéressantes, car ils dressent le profil des ‘’métaleux’’. Toutes ces sources m’aideront enfin à développer sur mon hypothèque qui ressemblera à : les gens vont à des concerts métal pour la musique, l’intensité et le sentiment de liberté que cela procure. J’espère que m’a recherche démystifiera les fameux concerts métal ainsi que leurs adeptes.


Entrée no.7

25 mars 2010

Bonjour chers étudiants. Cette semaine, je vais vous informer de l’avancement de mon projet de recherche. Avec les commentaires qui m’ont été faits, j’ai décidé de me poser la question ; qu’est-ce qui m’intéresse et me passionne par rapport à mon sujet ? Ce que je recherchais dans ce style de musique. C’est ce que j’essaierais de faire avec ma recherche. Mettre le doigt sur ce qui m’attire dans cette musique.

Une des premières réponses se serait les spectacles. Cette musique, qui semble rebutante pour plusieurs personnes, est tout le contraire pour les fans. L’intensité des concerts est unique et très peu de styles musicaux peuvent se vanter d’offrir à leurs adeptes des spectacles de la sorte. J’aimerais, à travers mon travail, mettre le doigt sur cette recherche d’intensité. Après avoir lu plusieurs articles sur les bases de données, je crois que je vais me concentrer sur les spectacles. Pour avoir fait des lectures, je peux vous dire qu’on a déjà écrit beaucoup sur le sujet. J’ai consulté des livres, des revues et des documentaires pour me rendre compte que depuis près de 20 ans, on écrit et on réfléchie sur la musique heavy métal et ce qui l’entourent. Avec cette quantité impressionnante de sources d’information, il est important pour la ma recherche de bien cerner un élément dans ce grand sujet. J’analyserais donc, ce que les gens recherchent dans un spectacle de musique Heavy Metal.  C’est ce qui me passionne et qui m’impressionne dans un concert. Cette intensité unique que d’autres spectacles ne peuvent offrir à leurs fans.

Mon travail sera divisé en plusieurs parties. Voici les éléments que je voudrais aborder. L’intensité des concerts,  »les trashs  », l’appartenance à un groupe, la liberté du moment et le contact entre le public et les artistes.

Je suis encore au stade de la recherche et bientôt je pourrais élaborer un plan. Je crois que les éléments mentionnés sont très nombreux et que je ne pourrais peut-être pas tous les développer. C’est en faisant  encore des recherches que je serais en mesure de bien sélectionner les éléments les plus importants.

Les difficultés que je rencontre sont surtout au niveau de la recherche. La quantité énorme de sources m’amène à lire plusieurs articles et ceux en anglais sont plus longs à lire. Les publications sur les bases de données sont extrêmement intéressantes et très nombreuses.

Il faudrait aussi, bien cerner mon sujet . Pour l’instant je crois que j’aurais assez de matériel pour une recherche d’environ quinze pages. Reste à voir comment je vais développer mes chapitres et l’importance que je vais donner à chacun d’eux. Bonne semaine à tous.


Entrée no.6 – La persuasion

21 mars 2010

Bonjour à tous. Cette semaine j’ai trouvé un débat assez animé entre un journaliste de Washington post et le musicien Frank Zappa. C’est à l’émission de télévision Crossfire sur CNN en 1986 que se tenait ce débat sur les paroles offensantes que l’on retrouvait dans la musique. La question était : est-ce qu’on devrait permettre la production de disques qui ont des paroles offensantes? Bien sûr, c’est une question très vaste qui entraine des réflexions à plusieurs niveaux. La conclusion de l’émission est qu’on ne doit pas les censurer parce que c’est le gouvernement qui le fera. Des gens devront choisir pour d’autre ce qu’ils ont le droit d’écouter, ce qui v à l’encontre de la libre expression C’est aux familles de choisir ce qu’il laisse écouter à leurs enfants. Ce qui m’a fait penser à ce débat pour cette entrée sur la persuasion, c’est le comportement des deux protagonistes pendant le débat. Le journaliste, John Loften, apporte son augmentation d’une manière tout à fait inappropriée ce qui détruit toute sa crédibilité. Il détourne la conversation et n’essaie pas de comprendre l’opinion de monsieur Zappa.  Il va même jusqu’à parler du l’holocauste pendant un de ses propos. En plus, il traite son opposé d’idiot après lui avoir fait répondre à une question. Voici l’extrait. Avancez la à 6:30

Ce débat, remporté haut la main par Frank Zappa, est un bon exemple où on essaie de persuader par le discours. Avec les mauvais exemples apportés et le détournement du sujet, le journaliste John Loften a donné toutes les armes nécessaires à son opposant pour qu’il remporte le débat.


Entrée no.5

8 mars 2010

Retour sur le projet de Casey.

Pour commencer, ce sujet touche toutes les générations alors il intéressera un grand public. La technologie a beaucoup évolué à travers le dernier siècle et sera de plus en plus présente dans notre vie de tous les jours. Ce sujet de recherche me semble très pertinent et nous permettra de bien comprendre les liens que chaque génération entretient avec les nouvelles technologies. Un des problèmes que je vois c’est qu’il s’agit d’un sujet vaste qui sera difficile à développer et à bien synthétiser avec le temps que nous avons pour le réaliser. Ce sujet sera difficile à bien explorer en une quinzaine de pages compte tenu de son l’ampleur. Il faudra alors avoir un fil conducteur solide et faire attention pour analyser également chaque génération. Sinon, excellent sujet qui sera vraiment intéressant à lire spécialement pour des élèves en création multimédia. Bonne recherche !!!


Entrée no.4 – Suite projet

18 février 2010

 

Comme vous le savez, mon projet de documentaire s’est transformé en recherche plus conventionnelle. Mon sujet étant les préjugés envers la musique « Heavy Métal«  je vais donc développer dans ce sens. Plusieurs éléments seront problématiques avec ce sujet.

D’abord, je devrais bien cerner où je veux en venir, ce que je veux explorer dans ma recherche. Il y a beaucoup éléments entourant mon sujet et je dois bien décider dès le début le chemin à suivre pour répondre à ma question. J’ai choisi la musique heavy Metal car je suis un fan de ce style, mais j’aurais très bien pu répondre à la question pourquoi les gens ont des préjugés envers certains styles musicaux. Je voudrais aborder cette question en début de recherche pour voir quels éléments sont peuvent rebuté certaines personnes dans l’appréciation de différent style musical. Cette question pourrait m’aider dans ma recherche en me donnant des pistes pour développer sur le style que j’ai choisi d’étudier.

Ensuite, un des aspects qui m’inquiète, c’est les sources et la recherche que je devrais effectuer. J’ai parcouru l’internet pour me rendre compte que plusieurs ouvrages sur ce style de musique étaient en anglais. Je ne crois pas que nous les avons à la bibliothèque. Je devrais donc les acheter ou les faire venir ce qui pourrait prendre quelques semaines. Je vais donc chercher dans des revues et autres documents pour monter ma recherche. Il y a aussi des documentaires, réaliser par l’anthropologue Sam Dunn diplômé de l’université York en Angleterre, qui explore le heavy métal et qui fait découvrir la présence de cette musique à la grandeur de la planète. Bref, je vais continuer ma recherche en espérant trouver des éléments pour bien construire mon argumentation.

Un des pièges auquel je devrais faire attention, c’est de rester objectif tout au long de ma recherche. Comme je l’ai dit dans ma précédente entrée, mon but n’est pas de faire la promotion de cette musique, mais bien de la comprendre. En tant que fan et musicien il serait difficile de ne pas faire la l’éloge de ce style à travers mes propos. Je devrais donc garder un ton neutre et me mettre dans la tête des personnes qui ont des préjugés envers la musique Heavy Metal.

Sinon, j’ai bien hâte de me lancer dans la rédaction de cette recherche sur un sujet qui me passionne. Il est certain que le sujet jouera pour beaucoup dans mon implication dans ce projet. J’espère remettre un travail complet, intéressant et objectif.  Bonne semaine à tous.


Entrée no.3 – Projet de recherche

11 février 2010

 

Cette semaine il sera question de mon projet de session. J’ai décidé d’effectuer des recherches pour pouvoir réaliser un documentaire qui aura comme sujet : les préjugés envers la musique Métal. Avec sa grande popularité dans la région, je crois qu’il était très à propos de démystifier ce style de musique pour ainsi comprendre ses adeptes.

Bien sûr, la quête, ce que je cherche à comprendre c’est : pourquoi les gens on des préjugés envers cette musique. Avant d’arriver à cette question, je voudrais d’abord faire un petit portrait de ce style et expliquer d’où il vient et comment il a évolué. Par la suite, j’aimerais trouver des amateurs de cette musique pour savoir ce qu’ils recherchent en écoutant ou en assistant à un spectacle <<Heavy Métal>>. Je veux comprendre ce qui pousse des personnes à aimer ce style de musique agressif et violent. Après avoir exploré et compris mon sujet, je vais m’attaquer à la question : pourquoi les gens ont des préjugés envers la musique Métal ?

Pour répondre à cette question, je me suis demandé si l’age, le sexe, la scolarité, la culture et la nationalité influencent les gens par rapport à cette musique. Le manque d’information sur ce style peut aussi faire une différence dans l’appréciation de cette musique. J’aimerais donc menez des entrevues avec des gens de plusieurs groupes de la population pour dresser un portrait des personnes qui ont des préjugés. Mon but n’est pas de convaincre les gens d’aimer cette musique, mais bien de comprendre pourquoi certaines personnes la jugent sans la connaître.


Entrée no.2 – Retour sur le billet de Gille-Luce

26 janvier 2010

 
Bonjour, cette semaine j’aimerais apporter mes observations sur le premier billet de monsieur Gille-Luce Macamaux. Cet homme, au nom composé prestigieux, nous a parlé des sectes et plus précisément de la scientologie et des mormons. Je dois dire que je suis tout à fait d’accord avec lui en ce qui concerne son argumentation. Il ne faut pas croire toutes les informations qu’on nous envoie surtout quand celle-ci n’ont aucune logique et même aucun sens.

J’ai cependant relevé un petit problème de méthodologie dans l’argumentation de monsieur Macamaux. Celui-ci appuie ses propos en disant que la cour de France et celle de Londres ont condamné la scientologie pour fraude et escroquerie.

<< ON parle ici d’une église qui en 1984 a été qualifiée par la cour de Londres «  d’immorale et socialement odieuse » puis en 2009 par la cour française a été accusée d’escroquerie en bande organisée.   >>

Il s’agit de faits qui viennent confirmer ses propos sur cette fausse religion. Le problème c’est que l’on n’a pas les sources de ces informations. Elles sont surement vraies, mais il nous faut la source pour rendre ces informations crédibles.

J’ai trouvé pour vous quelques sites qui parlent de ces informations.

http://www.only.over-blog.org/article-31905305.html

http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6652

http://www.antisectes.net/latey.htm

http://en.wikipedia.org/wiki/Fair_Game_(Scientology)#Latey_judgment.2C_1984

Les deux premières concernent la cour de Paris et non la cour française. Les informations sur celle de Londres sont plus difficiles à trouver. Dans le deuxième lien, on nous dit aussi que la scientologie a été condamnée en France pour pratique de médecine sans autorisation.

Voilà le problème de méthodologie que j’ai relevé dans le billet de Gille-Luce Macamaux.

Bonne semaine à tous.


Entrée no.1 – Sondage

21 janvier 2010

Bonjour à tous. Pour ma première entrée, j’aimerais apporter mes commentaires et observations sur les sources de deux sondages sur le site de Radio-Canada.

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2009/10/20/001-grippe_sondage.shtml

Le premier nous parle du pourcentage de la population canadienne qui veut le vaccin contre la grippe H1N1. Dans le sondage, on nous dit que 33% des répondants voudraient profiter du vaccin alors que 43% ne se prononcent pas et que 25% hésitent encore. Le sondage a été effectué du 15 au 17 octobre 2009 auprès de 1062 internautes et comporte un taux d’erreur de 3% selon l’article. Le problème que je relève dans ce sondage, c’est qu’il a été fait sur internet et qu’il y a seulement 1062 personnes qui ont répondu. Le fait que cette collecte a été faite à l’aide de ce médium pose problème, car ce n’est pas tous les groupes de la population qui vont sur internet. Plusieurs personnes âgées n’ont même pas d’ordinateur. On pourrait aussi penser qu’il y a eu peu de jeunes de moins de 20 ans parce qu’ils fréquentent peu ce genre de site d’information. Alors, je crois que ce sondage n’est pas très juste, car il y a eu un faible taux de participation et que ce n’est pas tous les groupes de la population qui sont représentés.

http://www.radio-canada.ca/radio/techno/categorie.asp?cat=221

http://www.pewinternet.org/

Le deuxième sondage concerne le pourcentage de la population américaine qui met leurs emplois du temps sur twitter ou un autre site du genre. On nous dit qu’un American sur 5 soit 19% utilisent fréquemment l’internet pour diffuser son emploi du temps. Je relève quelques problèmes dans cet article et dans le sondage. Le premier c’est que le journaliste n’indique aucun lien dans l’article pour nous amener au site américain qui a effectué le sondage. Il oublie aussi de nous mentionner comment le sondage a été fait et quel groupe de la population a été interrogé. J’ai été sur le site officiel du sondage pour découvrir qu’il a été fait par téléphone à 2 253 personnes âgées de 18 ans ou plus. Il y a là un problème au niveau de la collecte de donnée, car pour que le sondage soit vraiment représentatif de la population américaine, il faut ajouter les jeunes de 14 à 18 ans qui selon moi doivent être très actifs sur ce genre de site. On ne mentionne pas s’il y a eu une limite d’âge pour le sondage. Encore une fois les personnes âgées doivent être moins présentes sur l’internet ce qui modifierait le sondage. Alors, les problèmes dans ce sondage sont au niveau de la collecte d’information, car on oublie un groupe de la population très active sur ce type de site. Je trouve aussi dommage que l’article sur le site de Radio-Canada ne possède pas de lien direct vers le site où il on prit leurs données. Nous sommes obligés d’aller le site et fouiller pour trouver les informations que l’on veut. Merci et bonne semaine.